Profession de foiQuelle Europe voulons-nous ?

L’Union Européenne issue de Maastricht n’a été créée que pour asservir les peuples aux marchés économiques. Sous prétexte d’amitié entre les peuples, elle organise leur compétition au profit de la finance. Cet instrument de domination doit disparaître d’une manière ou d’une autre.
Nous aspirons à la refondation – impossible dans le cadre des traités actuels – d’une nouvelle alliance d’États pleinement souverains. Pour y parvenir, il pourra être nécessaire de quitter l’Union actuelle. A tout le moins, il faudra que le peuple français ait à se prononcer par référendum sur cette question – mais cela ne relève pas du pouvoir des eurodéputés.


Si nous sommes élus, nous porterons à Bruxelles la voix d’une France indépendante, souveraine, dont le peuple reste responsable de son propre destin et qui n’a de leçons à recevoir de personne. Voici quels seront nos principes :

L’Union Européenne issue de Maastricht n’a été créée que pour asservir les peuples aux marchés économiques. Sous prétexte d’amitié entre les peuples, elle organise leur compétition au profit de la finance et au détriment de la nature. Cet instrument de domination doit disparaître d’une manière ou d’une autre.

Nous aspirons à la refondation – impossible dans le cadre des traités actuels – d’une nouvelle alliance d’États pleinement souverains. Pour y parvenir, il pourra être nécessaire que la France quitte seule l’Union actuelle ; à tout le moins, il faudra que le peuple français puisse se prononcer par référendum sur cette question – mais cela ne relève pas du pouvoir des eurodéputés.

Si nous sommes élus, nous porterons à Bruxelles la voix d’une France indépendante, souveraine, dont le peuple reste responsable de son propre destin et qui n’a de leçons à recevoir de personne.

Nous aurons à cœur de défendre, entre autres, les idées suivantes :

L’indépendance

Emmanuel Macron, allié avec la Commission et une majorité du Parlement européen, et soutenu par Raphaël Glucksmann ou les Verts, a décidé de transformer l’UE en fédération afin de supprimer totalement la souveraineté du peuple français ; matériellement, le Conseil de l’UE déciderait sur tout à la majorité et notre droit de veto disparaîtrait. Demain, si une majorité de pays le décident, nous pourrions être forcés à abandonner la laïcité, notre énergie nucléaire, nos transports publics, notre éducation gratuite ou encore notre sécurité sociale. La cause la plus importante que nous devrons défendre à Bruxelles et à Strasbourg sera celle-ci : empêcher l’asservissement de la démocratie française dans un monde dominé par les lobbies et les puissances de l’argent ; empêcher la dissolution de la France et de son pacte plusieurs fois millénaire avec la liberté du monde.

La paix

L’UE et l’OTAN nous entraînent dans un engrenage guerrier qui n’a jamais été souhaité par le peuple français. Nous n’avons que faire des gesticulations d’Emmanuel Macron, qui cherche à nous enrégimenter pour mieux cacher son échec. S’il est naturel d’aider une nation agressée et un peuple qui souffre dans la guerre, la France n’a aucun intérêt à chercher le conflit avec la Russie et ses alliés des BRICS ; par ailleurs, son éthique lui commande de rechercher les voies de la paix pour que cesse le calvaire du peuple ukrainien, puisque la guerre ne peut manifestement plus être gagnée. Demain, la France devra retrouver la place que le général de Gaulle avait imaginée pour elle : une voix indépendante qui fasse le lien entre le vieil Occident et les nouvelles forces qui remettent en cause son hégémonie.

La souveraineté alimentaire

« Labourage et pâturage sont les deux mamelles de la France » depuis Sully ; mais la Macronie veut liquider tout ce qui n’est pas suffisamment rentable dans l’agriculture française, à travers une PAC qui favorise la grande culture et des accords de libre-échange qui tuent les secteurs les moins riches et favorisent l’importation de productions qui ne respectent pas l’environnement. Au contraire, nous pensons que la France doit rester un grand pays agricole, riche de toutes ses productions et qui peut mener sa transition écologique sans concurrence déloyale. La France paie plus à l’UE qu’elle n’en reçoit ; elle ferait donc mieux de reprendre en main sa politique agricole pour la mettre en accord avec ses priorités : non pas sacrifier les éleveurs pour que nos amis Allemands puissent vendre plus de berlines, mais assurer une souveraineté alimentaire écologique dans tous les secteurs où la France produit.

La souveraineté énergétique

La France a développé le nucléaire, source d’énergie bon marché, non émettrice de gaz à effets de serre et peu dépendante de l’extérieur. Cet avantage est devenu décisif, alors que le choix allemand de la dépendance au gaz russe montre toutes ses limites ; mais l’UE impose un calcul du prix de l’électricité absurde et une concurrence de façade qui n’ont pour effet que d’augmenter les prix pour les entreprises, les collectivités et surtout les particuliers français. Dans ce domaine comme pour les autres services publics, nous défendrons, contre le dogmatisme bruxellois, le modèle français du monopole public assurant à tous un prix bas, une attractivité économique exceptionnelle pour la France et une énergie bonne pour le climat.

L’universalisme républicain et la laïcité

L’UE est une organisation sous protectorat américain et convertie à l’anglosphère. C’est ce qui explique que la Commission, par exemple, subventionne des campagnes en faveur du communautarisme et de l’islamisme politique contre la laïcité à la française. A Bruxelles et Strasbourg, nous porterons haut le modèle français qui n’a pas à rougir – bien au contraire – en fait de respect des immigrés et des minorités – que nous considérons comme des individus dignes de respect, et non comme des troupeaux qu’on peut manœuvrer en pactisant avec leurs bergers autoproclamés. Nous porterons la République et ses valeurs avec passion contre tous les colonialismes intellectuels.

La démondialisation

L’UE repose sur l’idée que la frontière est une gêne. Or la frontière devrait être une protection : entre Molenbeek et Paris en 2015, la frontière aurait pu protéger les Français contre les kalachnikov des meurtriers ; entre Rotterdam et la France aujourd’hui, la frontière permettrait de bloquer un tant soit peu la drogue qui corrompt tout ; entre le Bangladesh et la France, la frontière devrait nous protéger contre les produits industriels issus de l’exploitation abusive des êtres humains et de la nature ; entre le sud et le nord de la Méditerranée, la frontière devrait permettre la régulation de l’immigration conformément au vœu des Français. Dans tous les domaines : sécurité, santé, modèle social, écologie, la frontière est une protection.

Nous le peuple, tribuns des Français ordinaires, nous défendons nos valeurs communes contre les folies des prétendues élites qui nous trahissent depuis tant d’années. Bien défendue, la France peut revivre ! Il est encore temps de se ressaisir ! « Chaque jour peut être Valmy »,

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